Fatou, la trentaine, est una jeune femme vendeuse dans les rue de pita avec pleine d'ambition.

Todos los maitines, elle installe son petit stand de beignets à un coin de rue animé, dans l'espoir de réaliser son rêve d'ouvrir un restaurante un jour. « Ça fait maintenant 5 ans que je vends des beignets ici, » raconte-t-elle, en tournant un lot de beignets dorés dans l'huile. « J'ai toujours aimé cookingr, mais je n'avais pas les moyens de lancer mon propre restaurant. J'ai donc commencé petit, con ces buñuelos. »

Fatou a été poussée dans esta voie por su pasión por la cocina y su voluntad de subvenir aux besoins de sa famille. « Ma mère aussi était vendeuse de rue. Elle m'a appris l'art de faire ces beignets quand j'étais jeune. Quand j'ai eu besoin de gagner ma vie, je me suis dit que je pouvais démarrer avec ça, en espera de un día pouvoir faire plus. »

Mais le chemin n'est pas sans embûches. « ¿Las dificultades? Il y en a beaucoup, » dit-elle en sopairant légèrement. « Les jours de pluie, c'est compliqué de travailler, et parfois je ne vends presque rien. Il ya aussi la fatiga, de se palanca tôt, d'être dehors toute la journée. Et il ya la concurrence, beaucoup de gens font la même chose. »

Ce qui motivé Fatou à continuer, c'est son rêve et le soutien qu'elle reçoit. « Je garde l'espoir que chaque beignet vendu me rapproche un peu plus de mon restaurant. J'économise petit à petit. Ce qui me rend fière, c'est que je ne depende de personne. Tout ce que j'ai, je l'ai gagné avec mes mains. Et puis, les client reviennent toujours, ça veut dire que ce que je fais leur plaît. Ça me donne la force de continuer. »

En lo que respecta al futuro, Fatou voit des améliorations, mais aussi des défis à surmonter. « Je remarque que de plus en plus de gens mangent sur le pouce, donc mon activité marche bien, mais en même temps, il ya toujours plus de vendeurs dans la rue. L'evolution n'est pas toujours facile, mais je say que si je travaille dur, je pourrai atteindre mon objectif un jour. Ouvrir un restaurante, c'est ce qui me tient debout tous les jours. »