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Los comerciantes informales de Johannesburgo asistieron a la decisión de la Corte Constitucional

Por Franny Rabkin 05 de diciembre de 2013

Les Associations des Vendeurs de Rue Marchent au Bureau du Maire en Octobre, exigeant le retour immédiat des commerçants informels du centre-ville sur leurs sites de travail à Braamfontein, Johannesburgo. Foto de : PUXLEY MAKGATHOLes Commerçants informels légitimes de JOHANNESBURG sauront par cet après-midi s'ils auront le droit de retourner à leurs placeux de travail dans les rues du centre-ville et poursuivre leurs activités, après une matinée de débats devant la Cour Constitutionnelle.

Los miembros del Forum des Commerçants Informals Sud-Africains y de la Association Nationale des Commerçants Détaillants Sud-Africains, don't sures sont des vendeurs légitimes sur les rues de Johannesburgo después de más de 20 años, ont été expulsés dans le cadre de l'opération "Coup de Balai" de la mairie – una iniciativa visante à débarrasser la ville des vendeurs de rue illégaux.

Después de haber sido rechazado por el tribunal de gran instancia, que a anulado el proceso disant que ce n'était pas urgente, sont allés de toute urgence à la Cour Constitutionnelle.

El abogado del foro, Paul Kennedy SC, dijo que ensayant de se débarrasser des commerçant dits illégaux de la ville, la mairie a expulsé tous les commerçants – y comprende les plus légitimes – alors qu'il n'y aucune loi qui les autorise à le faire.

C'est à cause de ce que la mairie a fait que les commerçants sont maintenant "vraiment dans un état de crise absolue", at-il dit.

"Ce sont des gens qui, malgré les problèmes de mauvaise éducation sous l'apartheid, malgré les problèmes de chômage, ont eux-mêmes développé, avec leurs propres resources, des activités Commerciales viables", at-il dit.

Il a fait valoir que même si c'était très inhabituel que la plus haute juridiction puisse intervenir dans este asunto en este momento, il ya des circunstancias excepcionales, parce qu'en réalité, le tribunal de gran instancia ne serait en mesure d'entendre leur appel qu'en Février, ce qui était trop tard.

El abogado de la mairie, Gcina Malindi SC se enfrenta a un aluvión de preguntas de la parte del banco de la Cour Constitutionnelle, il a par la suite dit qu'il était "contraint de concéder" que la mairie n'avait pas suivi les procédures requiss s'agissant de l'expulsion des vendeurs légitimes.

L'avocat de l'association des commerçants informalles, Chris Georgiades a convenu, en disant que la mairie avait l'obligation de protéger ses citoyens. Au contraire, on a vu la mairie faire le contraire, at-il dit: elle a abusé les commerçants informalls et les a pris pour des criminals.

Cependant, después de la consulta con su cliente para ver si la mairie était prête pour un compromis, M. Malindi a dit au tribunal que la mairie n'était pas prête pour un compromis, mais elle était prête à permettre aux commerçants qui avaient été confirmés comme Étant légitimes, después del debut. de la operación "Coup de Balai", de revenir à sus sitios de comercio.

Más Steven Budlender, abogado segundo de M. Kennedy, dijo que esto no es suficiente. Il a dit que la municipalité avait elle-même admis que tous étaient des légitimes légitimes, et pour éviter d'autres litiges, le tribunal doit ordonner que todos los miembros del foro y de la asociación soient autorizados a continuar con sus actividades comerciales.

El adjunto del juez presidente, Dikgang Moseneke, dijo que el tribunal decidirá sobre este asunto en 15 horas.

Fuente: Business Day Live – www.bdlive.co.za

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