A la reunión tenue le Vendredi de la semaine passée, le Commissaire principal de la Police de Johannesburg Metro, qui à contre coeur avait donné son nom comme Isaac Peter Dlepho a rehusé d'avoir le moratoire sur la confiscation des biens des vendeurs de rue tel que demandé par SANTRA.
Xolani Nxumalo, jefe del grupo de gestión del comercio informal, exigió la presencia de un equipo de juristas y otras personas apeladas por SANTRA para vigilar el procedimiento y practicar una técnica adecuada. Después de un vif échange, los representantes de SANTRA, además del equipo de Juristes compuesto por Mical Johnson y Mohummed Khan de EVERSHEDS ATTONEYS y Tebogo Sewapa del PROJET DE REVISION DE LOI, abandonaron la reunión.
RESPUESTA DE SANTRA:
" SANTRA ne se laissera pas dicté par la Ville de Johannesburg, quant à savoir qui devrait ou ne devrait pas faire partie de sa délégation, face à una question critique de esta naturaleza, en particular concernant les allégations generalisées de brutalité, de violencia et de saqueo par les miembros de JMPD ».
¡Pánico! : agentes municipales, coupables de façon flagrante de non livraison sont désespérément passés de " mode de gestion de crisis" et ne veulent pas que leur conduite soit surveillée par des « gens du dehors ».
¿Nos demandons est-ce que la gestion des commerces de rue est en place? La respuesta es qu'ils n'en ont pas.
¿Où sont les Milliones de Rands de valeur non perissable confisquée pris aux pauvres sous forme d'application de la loi " au cours de 10 dernières années passs ? Il n'avait pas de réponse à esta pregunta.
Il ne sera pas possible pour ces fonctionnaires de manipuler SANTRA dans un processus de négociation contrôlé, avec eux, de choisir qui doit être représenté de notre côté de la table. Nous avons fait la demande d'un moratoire. Nous choisissons qui parle en nuestro nom. A la hora actual, todos nosotros para nuestro debate público, exponiendo todos los aspectos de la política de comercio informal de Johannesburgo, ayant échoué ainsi que la non livraison des biens, par une équipe tres coûteuse de fonctionnaires municipaux.
El fiasco del comercio informal de Johannesburgo podría ser también un resarcimiento de la crisis de facturación, la única diferencia es que los pueblos pobres y los no contribuyentes en recursos son afectados. La « boîte de pandore » s'ouvre lentement. Les commerçants ont peur de parler par crainte de représailles. NOUS NE SOMMES PAS. »
Para obtener más información, póngase en contacto con: Edmund Elias – Porte-parole 072 570 2200 o 072 157 2481