The Times Of India, Ahmedabad, Jeudi Le 8 de marzo de 2012
Déconstruire la maçonnerie masculina
Rachaita, La "1ere Coopérative des Femmes Travailleuses de Construction, fait l`histoire d`une brique al`autre Radha Sharma I TNN
Ahmedabad: Ketan Makwana trabaja como ingeniero civil en una sociedad basada en la ciudad. Il consider sa veuve mère Madhu (45), quien a trabajado en tant qu`ouvrière de construcción, como son enseignante la plus appréciée dans le secteur de construcción. Madhu est devenue una maçonne hautement qualifiée. Elle travaille sur de gros sites où elle gagne 400-500 Roupies por día qui lui permettent de prendre sa famille en charge. Elle lui donne des conseils que seul un professional expérimenté peut offrir. De hecho, Ketan admitió que aurait dû abandonner ses études si sa mère n`avait pas travaillé durement pour se tailler une place dans la maçonnerie – tradicional, un bastión masculino.
Madhu es una de los 1000 miembros de Rachaita, la primera cooperativa acordada por las mujeres trabajadoras de la construcción en el Estado y probablemente en todos los países. La cooperativa Rachaita, aprobada en 2005, es parte de la Asociación de Mujeres Autónomas (SEWA). Después de un debut plutôt frágil, les femmes se sont consolidées d`elles-mêmes. Après avoir payé les femmes, Rachaita fait 25 cent de benéfice.
"Nous sommes fières du fait que Rachaita es la única cooperativa de mujeres emprendedoras parmi les cinq lakh et plus des sociétés de Construction répertoriés par le géant de la Construction Larsen & Toubro", dijo Varsha Thakar, una directora de Rachaita. "De hecho, cuando algunos de nosotros hacemos el registro con la empresa, un alto funcionario nos ofrece una visita para asegurar nuestra base de competencias. La primera cuestión de la gran parte de las empresas es saber si las mujeres pueden trabajar mucho en el -delà d`être des aides du site. sommes toujours obligées de donner des démonstrations pratiques pour prouver nos capacités " Actuellement, 450 femmes travaillent activement sur les chantiers de Construction toute l`année durant. La cooperativa está trabajando con gigantes de la construcción como Shapoor-ji Pallonji, L & T, Groupe Safal y ha terminado su trabajo en hospitales, hoteles, apartamentos, bungalows y tiendas.
El primer proyecto de Rachaita fue un trabajo en el muelle de Sabarmati. "Nous avons plongé dans la rivière et avons appris à nager, se souvient Ramila Parmar, presidenta de Rachaita. La coopérative a enregistré des pertes parce que les femmes n`étaient pas habituées à travailler sous pression et à exécuter des travaux lourds. "Nous avons eu a casser et plier des barres de fer et fabriquer des brancards. Un brancard qui devait être achevé en tres días – nous l`avons fait dans 18 jours", se souvient M. Parmar. Après avoir termine ce projet avec l`aide des hommes, les femmes se sont regroupées et ont appris de leurs erreurs. Elles ont reçu una formación de la CEPT et de l`École técnica CN et étaient enfin prêtes à franchir le pas.
"Maintenant, les femmes ont soulevé des briques de 22 kg pour construire des murs et ont plié des barres", declaró M. Parmar. "L`équipe a 10 maçonnes hautement qualifiées et un nombre égal de femmes qui ont getu leur diplôme pour être des superviseurs sur site appelés "ingénieurs aux pieds nus" parmi les femmes! Elles gagnent 180-500 Roupies par jour selon leurs compétences. "
Kanta Rathod, une travailleuse, dijo: "Si je suis en mesure de prendre mes quatre enfants en charge après la mort de mon mari, c`est à cause de Rachaita. J`ai reçu uneformation en maçonnerie et je gagne maintenant 350 Roupies cada día, cada mes "Comme la plupart des femmes qui sont maintenant". Con Rachaita, Rathod avait l`habitude de revenir de Kadiya naakas mains bredouilles pour 20 jours par mois que la mécanisation a repris vers le debut des années 2000. Et les sociétés ont besoin des maçons qualifiés, qui étaient alors tous des hommes.
Fotos: Bhadresh Gajjar, Yogesh Chawda, Dhaval Bharwad
